UNE CÉRÉMONIE AU TOP POUR L’UCP
L’union des Correspondants de presse avait invité les adhérents et amis à prendre leur envol pour une visite du musée de l’Aéroscopia, suivi du prix Tout-Ouie, remis à des personnalités , en contact étroit avec la communication . Après le Hall d’embarquement pour la promenade, on était littéralement happé par cette découverte. Les « oiseaux de fer » qui survolent dans le ciel sont devenus des monstres gigantesques qui ont englouti les visiteurs. Avions de légende certes et du minuscule « moustique « en toile et bois, on se trouve, nez à nez avec le SUPER GUPPY,l’ A 300 8, ou le Concorde. Une fresque historique et des maquettes racontent les progrès réalisés dans ce domaine de l’aéro. Depuis les exploits de Clément Ader qui avait réussi le 9 octobre 1890 à faire voler sur quelques 50 mètres un plus lourd que l’air . L’Eole ne pesait que quelques kilos et ne s’élevait qu’à quelques centimètres au dessus du sol mais depuis que de progrès accomplis… et , là; sous les yeux des visiteurs, c’est le concret de cette histoire. Vitesse, capacité, poids. Avions de transport, avions civils, avions militaires, métiers de l’aéro, archéologie aéronautique qui fait parler les pièces retrouvées, jusqu’à cette vision des avions du futur on est transporté sur un petit nuage pour une leçon passionnante. Beaucoup de visiteurs, enchantés de ce premier contact vont compléter leurs connaissances par de prochaines visites et voir de près Magister, Falcon, Crusader, Mirage, Jaguar, Nordatlas, Béluga, Merlin ou Starfighter.
Après cette visite, laissée au gré de chacun, Christian Mouillac, président de l’UCP et Bernard Villéga, secrétaire, invitaient à s’approcher pour le prix Tout-Ouie, décerné à David Berty, ancien international de rugby que la sclérose en plaque a éliminé des stades où il faisait carrière. Avec courage il s’est battu contre les dégradations physiques et morales et met son énergie à aider malades et handicapés. Responsable du club des Toros, l’équipe réalise des exploits en rugby fauteuil.
L’autre récipiendaire était Cécile Toulza, artiste peintre. Pour elle, on a diagnostiqué la maladie de Parkinston. Elle s’acharne à relever le défi et continue à vivre et à agir et cette belle femme se donne à fond dans son art et pour aller de l’avant avec le sourire.
Christian avait préparé une surprise à l’une des membres de l’association qu’il inscrivait en secret, sur la liste des récipiendaires. Raymonde Albaret a un long parcours dans la presse parlée (émission de philatélie) dans la presse écrite (Dépêche, Petit Journal….) et de nombreuses activités associatives dans les domaines culturels, sportifs, humanitaires et patriotiques.
Cérémonie émouvante qui retrace les « mérites » de chacun et Raymonde avec sagesse, dédiait un grand morceau de ce prix à sa famille et ses amis qui l’ont aidée dans son parcours. Les flashs des photographes ont crépité et félicitations, bouquets, embrassades ont complété ce moment de vedettariat.
Un succulent buffet accueillait les participants et permettait de prolonger les conversations. Un grand merci à l’UCP pour cette convivialité et cette qualité de rencontre.